Paris ... mais Londres n'est pas loin.

Week-end parisien mais thématique très british puisque nous sommes allées voir deux expos qui avaient pour thème Les Tudor, et David Bowie.

Les Tudor, c'est au Musée du Luxembourg.

L'exposition, qui retrace l'épopée de cette famille régnante anglaise, est la première du genre en France. Ces personnages sont relativement connus du grand public : des peintres, auteurs, cinéastes ont diffusé la légende depuis toujours et tout récemment la série télé les a remis au goût du jour.

Avec Elizabeth Ière, le roi Henri VIII est un des personnages majeurs : il a a instauré l'église anglicane pour des motifs un peu 'far-fetched' comme dirait ma copine Nathalie. Il a épousé six femmes, en a fait décapiter deux ; une "comptine" anglaise permet de se rappeler le sort des épouses royales - Catherine of Aragon, Anne Boleyn, Jane Seymour, Anne of Cleves, Kathryn Howard, Katherin Parr - "Divorced, beheaded, died, divorced, beheaded, survived". (Charmant. Et trois Catherine en plus ...).

L'expo permet surtout de replacer la dynastie des Tudor dans l'histoire d'Angleterre évidemment mais aussi ses liens avec la France. Les magnifiques portraits exposés proviennent de la National Portrait Gallery de Londres, (que je recommande !).

Si vous êtes fan, c'est là qu'il faudra aller ensuite : la résidence principale de Henry VIII, Hampton Court Palace, à quelques miles de Londres.

Et ça tombe bien : ce soir sur France2 "Secrets d'Histoires" consacré à Elisabeth Iere. On va être incollables sur les Tudor !

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Autre style pour la seconde exposition, puisqu'elle retraçait la carrière et l'univers de David Bowie. Autre référence à un musée anglais, puisque l'exposition a été initialement montée par le Victoria and Albert Museum.

Chez nous, c'est au coeur du site de la Philarmonie de Paris que l'exposition est présentée. Parce que je connaissais peu finalement, c'était intéressant de découvrir certains morceaux, les multiples facettes et talents du personnage, le contexte de ses albums, les différentes époques, de "Space Oddity" jusqu'au dernier album sorti en 2013, "The Next Day", La pochette étant symboliquement créée à partir de celle de l'album "Heroes" de 1977.

Et je viens de découvrir que le si célèbre morceau de Nirvana (The Man Who Sold The World) était en fait un titre de DB de 1970. Amazing !

Pour vos prochaines sorties parisiennes :